1ER MAI 1884 : HISTOIRE D’UNE REVOLTE

Mercredi 1er mai 2024

« 1ER MAI 1884 : HISTOIRE D’UNE REVOLTE »

Nous remontons le temps aujourd’hui. Loin, loin, loin. Il y a 140 ans. A l’époque, les Américains revendiquaient leur droit à la journée de 8 heures contre parfois 10 heures ou 12 heures, à raison de six jours par semaine, voire sept… En résumé, ils mouraient au boulot ! Ce 1er mai 1884, les syndicats américains appelèrent leurs travailleurs à descendre dans les rues et à manifester.

Le 1er mai est un symbole. Historiquement, le 1er mai est le premier jour de l’année comptable des entreprises. Le 1er mai 1886, tous les travailleurs n’ont pas obtenu satisfaction. Une grève démarre et de violents affrontements éclatent à Chicago. Le 3 mai, trois ouvriers trouvent la mort. Le 4, une bombe explose et fait quinze morts parmi les policiers. Elle conduira trois ouvriers à des peines de prison à perpétuité et cinq à la pendaison. Face aux preuves incertaines, ils seront finalement réhabilités.

Cette révolte des travailleurs et travailleuses va alors s’étendre au-delà des frontières américaines. Elle parcourt 7 661 km, traverse l’Atlantique et arrive dans l’Hexagone en 1890. Les Français portent un triangle rouge à la boutonnière. Ses trois côtés symbolisent le partage du temps entre le travail, le loisir et le sommeil… « Métro, boulot, dodo » : cette expression inventée en 1968 par Pierre Béarn aurait très bien pu puiser ses inspirations à cette époque.

Mais, et on l’oublie, le 1er mai, Journée international des travailleurs et travailleuses, est avant tout un jour de commémoration à l’égard des travailleurs qui ont versé leur sang, perdu la vie pour nous puissions obtenir des droits. Des droits qui seraient aujourd’hui remis en cause par le chef du gouvernement. On se souviendra longtemps de la petite phrase de Gabriel Attal, en février dernier , lancée à destination des contrôleurs SNCF qui revendiquaient une hausse de leurs rémunérations, des promesses non tenues sur la reconnaissance de la pénibilité du métier de contrôleur et des effectifs de recrutement : « Les Français savent que la grève est un droit, mais aussi que travailler est un devoir »… Une provocation véritablement insupportable de la part d’un homme de 34 ans qui est entré en politique dès sa sortie de l’université, sans la moindre expérience professionnelle !

Cher lecteur, chère lectrice, je vous remercie de votre fidélité et d’avoir consacré quelques minutes de votre attention à la consultation de cet article. Prenez soin de vous comme de ceux qui vous témoignent de toute leur affection… Continuons à nous protéger, à protéger ceux que nous aimons, à protéger les autres… Et, puisque je ne peux malheureusement rien faire d’autre pour témoigner toute ma gratitude à ces soldats qui sont en permanence en première ligne : APPLAUDISSEMENTS ! A mon prochain « petit papier »… !

Jessica NATALINO alias « Plume Libre »,

Ces dates qui ont écrit, écrivent et écriront notre Histoire

A 237 JOURS DU JOUR J

Lundi 15 avril 2024

« A 237 JOURS DU JOUR J »

L’échéance est là, toute proche. Plus que deux cent trente-sept jours et Notre-Dame de Paris renaîtra de ses cendres. Différente de celle qu’avait rêvée et voulue Maurice de Sully, l’évêque de Paris en poste entre 1160 et 1196 et qui avait engagé le chantier de Notre-Dame de Paris, qui s’était terminé en 1345 après trois siècles de travaux. Forcément, mais prête à traverser de nouveau le temps.

Alors, évidemment, ce triste anniversaire a comme un avant-goût de fête. Pour les Parisiens avant tout, c’est normal, puisqu’ils la côtoient au quotidien mais pour notre nation. Trônant sur la capitale depuis le XIVème siècle, Notre-Dame de Paris est l’emblème de la France, avant la Tour Eiffel qui n’a, elle, « que » 135 ans. Il aurait été fabuleux que cette personnification de notre pays rouvre ses portes avant les Jeux Olympiques et paralympiques de cet été. Les ouvriers oeuvrant chaque jour sur ce chantier nous auraient fait un beau cadeau. Mais, il est tellement plus facile de donner des perceptives lorsqu’on n’est pas à la main d’œuvre !

Le 15 avril 2019, les flammes avaient ravagé Notre-Dame de Paris, détruisant sa charpente, sa toiture et sa flèche. Les Français prenaient alors conscience de leur attachement à ce monument du patrimoine national. Comme toujours, on se rend compte de l’importance des gens que lorsqu’on est sur le point de les perdre (je l’avoue : la comparaison n’est pas la meilleure). La preuve : 840 millions de dons ont été collectés pour que la cathédrale retrouve toute sa dignité et tout son éclat.

Je veux avoir une pensée particulière pour le général Jean-Louis Georgelin qui a perdu la vie alors qu’il profitait d’un moment de détente en faisant une randonnée dans les Pyrénées le 18 août dernier. Cet ancien chef d’état-major des armées s’était vu confier la mission de rendre Notre-Dame de Paris aux Parisiens… C’est son bras droit, Philippe Jost, qui a hérité du chantier de reconstruction.

Je nous donne donc rendez-vous le 08 décembre prochain, jour de l’Immaculée Conception (Marie, mère de Jésus et donc mère de Dieu, est née préservée du péché originel (soit la séparation avec Dieu) par la grâce de celui-ci), pour célébrer la renaissance de la maison de Quasimodo, le sonneur de cloches né sous la plume du plus grand écrivain français !

Cher lecteur, chère lectrice, je vous remercie de votre fidélité et d’avoir consacré quelques minutes de votre attention à la consultation de cet article. Prenez soin de vous comme de ceux qui vous témoignent de toute leur affection… Continuons à nous protéger, à protéger ceux que nous aimons, à protéger les autres et aidons nos soignants à sauver des vies : même vaccinés, restons vigilants aux gestes barrières… Et, puisque je ne peux malheureusement rien faire d’autre pour témoigner toute ma gratitude à ces soldats qui sont en permanence en première ligne : APPLAUDISSEMENTS ! A mon prochain « petit papier »… !

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LE JOUR OU LES PERSONNES SEROPOSITIVES N’ETAIENT PLUS SEULES

Samedi 17 février 2024

« LE JOUR OU LES PERSONNES SEROPOSITIVES N’ETAIENT PLUS SEULES »

Le 5 juin 1981, l’organisme américain de surveillance et prévention des maladies CDC signale une forme rare de pneumonie chez des jeunes homosexuels californiens. En janvier 1983, à l’Institut Pasteur à Paris, les chercheurs Françoise Barré-Sinoussi et Jean-Claude Chermann, sous la direction de Luc Montagnier, isolent un nouveau virus qu’ils baptisent LAV et qui « pourrait être impliqué » dans le sida.

Pour fa ire face à cette épidémie, il y a trente ans jour pour jour, le 17 février 1994, l’association des Artistes contre le sida, Act Up-Paris, Aides-Fédération, Arcat-Sida et un groupe de chercheurs fondèrent « Ensemble contre le Sida » dont la mission sera de lutter sur tous les fronts de la pandémie en finançant la recherche et l’aide aux malades. Pour assurer sa mission, Ensemble contre le Sida s’appuie sur la Fondation de France qui gère ses fonds et sur la Fondation pour la Recherche Médicale qui s’occupe du financement des programmes scientifiques et médicaux tandis qu’Ensemble contre le Sida se consacre aux programmes de prévention et d’aide aux malades.

Aujourd’hui, en France, chaque année, encore environ 6 000 personnes apprennent encore leur séroposivité. Un drame qui ne les touche pas uniquement, parce que, sans traitement efficace, le VIH est l’un de ces virus qui se faufilent d’un être humain à un autre être humain essentiellement par voie sexuelle, par contact sanguin à travers du matériel d’injection ou encore de la mère à l’enfant en cas d’absence de traitement de la mère, ou pendant l’allaitement.

Moins de deux mois après la création d’ « Ensemble contre le Sida », le 07 avril 1994, pour la première fois dans l’histoire de la télévision, les grandes chaînes françaises font front commun et offrent un programme unique. Le Sidaction est né. L’impact est considérable : 23 millions de téléspectateurs, 45 millions d’euros collectés, témoignages de personnes vivant avec le VIH et une forte mobilisation des personnalités du monde entier, de chercheurs, de journalistes et de militants. Un témoignage en particulier restera dans la mémoire et dans le cœur des Français : celui de Barbara Samson… Son histoire d’amour, la jeune française l’a racontée dans un livre, « On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans »… Mais cela, cela sera pour une prochaine fois…

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CE 08 NOVEMBRE 1923 OU HITLER FAILLIT PRENDRE LE POUVOIR DE LUI-MEME

Mercredi 08 novembre 2023

« CE 08 NOVEMBRE 1923 OU HITLER FAILLIT PRENDRE LE POUVOIR DE LUI-MEME »

Ce jeudi-là, la Bürgerbräukeller, une brasserie de Munich, sert 3 000 bourgeois qui écoutent le commissaire général de Munich, Gustav von Kahr, lorsque, soudain, peu après 20 heures 30, des hommes surgissent, armes au poing. Après s’être difficilement frayé un chemin au sein de la foule compacte, une poignée d’hommes s’approchent de l’estrade, sur laquelle monte l’un d’entre eux après avoir ramené le silence en tirant un coup de feu en l’air. Vers 20 h 45, il adresse quelques mots au public : « La révolution nationale a éclaté. La salle est occupée par six cents hommes armés. Si le calme ne s’établit pas immédiatement, une mitrailleuse viendra sur la galerie. Le gouvernement bavarois est renversé, un gouvernement provisoire est formé. ».

L’agitateur est un redoutable joueur de poker. C’est du bluff. Puis, il essaie de rallier à sa cause trois hommes présents… Il est tellement excité qu’il est allé jusqu’à mettre le canon de son arme sur sa propre tempe, affirmant : « Si je ne suis pas victorieux d’ici à demain, alors je suis un homme mort. ». C’est ce jour-là que l’inconnu est passé de l’ombre à la lumière et, aussi terrible que cela puisse être, personne ne pourra me contredire : dès jour-là, Adolf Hitler aurait dû appuyer sur la queue de détente.

Pour ce putsch raté (ce ne sera que partie remise…), la justice allemande condamne, le 1er avril 1924, Adolf Hitler et ses acolytes à cinq ans d’emprisonnement chacun. Incarcéré le 11 novembre 1923 (cela ne s’invente pas !) en préventive, le leader du Parti nazi retrouvera néanmoins la liberté très rapidement, beaucoup trop rapidement : le 20 décembre 1924… Cadeau de Noël avec quelques jours d’avance !

Son séjour passé dans la cellule numéro 7 de la prison de Landsberg, Adolf Hitler a su le mettre entièrement à son profit. C’est là que, sous la dictée faite à Rudolf Hess, son manifeste politique « Meine Kampf » (« Mon Combat ») rassemble ses écrits sur ses théories sur les faiblesses humaines et les différentes façons de manipuler les foules… mais aussi la place que devrait occuper l’Allemagne en Europe et comment la « juiverie internationale », le communisme et la démocratie empêchent la réalisation de cette Grande Allemagne.

Dès la publication du premier tome de « Meine Kampf » (« Mon Combat ») le 18 juillet 1925 (le second suivra le 11 décembre 1926, juste à temps pour que ses concitoyens puissent le déposer sous le sapin de Noël. A partir de 1936, le manifeste devint le cadeau de mariage de l’Etat aux couples allemands), l’Allemagne aurait dû tirer elle-même la sonnette d’alarme. A travers ces 688 pages, bien évidemment, l’auteur ne revendique pas son projet génocidaire. Du moins, pas explicitement. Mais il ne dissimule pas pour autant cette haine viscérale qu’il ressent pour la « juiverie ».

Hitler a donc pris le pouvoir en Allemagne de façon légale et a su montrer au monde jusqu’où la haine de l’autre peut conduire : à Auschwitz, à l’extermination planifiée et systématique de tout un peuple. Ce qui est dingue et fascinant dans le sens péjoratif des termes c’est qu’il a réussi à séduire tout un peuple et à convaincre celui-ci du bien-fondé de son idéologie. Parce qu’Hitler était un idéologue : l’antisémitisme, l’antiparlementarisme, l’anticommunisme, l’anticapitalisme, l’expansionnisme allemand, la proclamation de la supériorité d’une « race aryenne » et une forme extrême de nationalisme allemand étaient des thèmes stables. Hitler en personne a affirmé qu’il se battait contre le marxisme juif, le capitalisme et le « judéo-bolchevisme ».

En décembre 1909, Adolf Hitler a 20 ans lorsqu’il se retrouve à mendier dans les rues de Vienne. Le thermomètre indique des températures glaciales et il est en train de mourir de froid lorsqu’un vendeur de vêtements à l’hospice lui offre un pardessus de laine, certes vieux mais bien chaud. Evidemment, Hitler accepte mais sa reconnaissance est pour le moins surprenante : il se livre à une violente attaque contre « ces salauds de Juifs qui ont tout »… Cette anecdote est très révélatrice de l’antisémitisme viscéral d’Hitler. Evidemment, Hitler n’est pas né monstre, il est devenu mais les prémices de sa haine envers les Juifs sont certainement apparues avec cet incident.

Autrichien de naissance, Adolf Hitler est déterminé à prendre le pouvoir en Allemagne. Pour cela, il réussira à obtenir la nationalité allemande, en 1932. Tout s’est déclenché en 1929. La crise économique a abandonné les Allemands au désespoir si bien qu’Hitler obtient 30,1 % des voix au premier des élections présidentielle tour le 13 mars 1932 et 36,8 % au second tour en avril, soit 13,4 millions de suffrages qui se portent sur sa personne, doublant le score des élections législatives de 1930. Hindenburg est réélu à 82 ans mais doit composer avec Hitler qu’il nomme « Chancelier du Reich » le 30 janvier 1933. Moins de deux mois plus tard, le 21 mars 1933, le premier camp de concentration « accueille » les premières victimes de l’idéologie nazie à Dachau, à 17 km au nord-ouest de Munich. Aux opposants politiques suivront les Tziganes, les homosexuels, les personnes handicapées motrices et mentales. Les Juifs, surtout. Le 20 janvier 1942, quinze dignitaires nazis se réunissent à la villa Marlier de Berlin… La « solution finale de la question juive » y est décidée. La suite, on la connaît : des locomotives tirant des wagons à bestiaux où sont entassés des centaines d’hommes, de femmes et d’enfants partent de toute l’Europe pour des voyages de plusieurs jours, vers « une destination inconnue ». A la fin de la Seconde Guerre mondiale, lorsque le général Eisenhower découvre la réalité et l’horreur des camps de la mort nazis, six millions de juifs ont péri dans les chambres à gaz… Et je ne parle pas des autres catégories de victimes qui ont partagé le même sort : les Tziganes, les homosexuels, etc.

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CE VENDREDI OU LE SIGLE « V.I.H » EUT L’EFFET D’UNE BOMBE

Samedi 20 mai 2023

« CE VENDREDI OU LE SIGLE « V.I.H » EUT L’EFFET D’UNE BOMBE »

C’était il y a quarante ans. Le 20 mai 1983, un sigle était sur les lèvres de tous les journalistes de la télévision française : le « V.I.H ». Ce vendredi-là étaient rendus publics les résultats des travaux des chercheurs français sous la direction d’un homme et d’une femme, les Professeurs Luc Montagnier et Françoise Barré-Sinoussi. Les scientifiques révélèrent l’existence d’un nouveau virus, différent de ceux jusqu’ici soupçonnés d’être à l’origine du syndrome d’immunodéficience acquise (sida) ; un virus mortel, confirmera l’année suivante une équipe américaine. Une bombe.

S’il fut identifié en 1983, le V.I.H sévissait depuis quelques temps déjà. Depuis 1981 ! Le 05 juin de cette année-là, les premiers cas d’une mystérieuse maladie non identifiée se manifestaient. A l’époque, personne ne pouvait ne serait-ce qu’imaginer des ravages qu’allait engendrer cette nouvelle épidémie. A l’époque, tout le monde ignorait même de quoi on parlait.

« Cancer gay » : c’est ainsi qu’était également nommé le Sida. Parce qu’il apparut en tout premier au sein de la communauté homosexuelle américaine. Certains, probablement des extrémistes chrétiens, y voyaient carrément un « châtiment divin » ! En clair, si les homosexuels avaient attrapé le VIH, ils ne pouvaient s’en prendre qu’à eux-mêmes… Voilà ce qu’il se passe quand on déroge à la volonté du Seigneur qui a façonné l’image du couple à un homme et une femme… Rien que ça ! Restons sérieux et laissons Dieu (dont nous n’aurons la révélation de sa réelle existence ou de sa non-existence qu’une fois après avoir rendu notre dernier souffle) hors de tout ça !

En général, tout le monde est égal devant la maladie. C’est d’ailleurs bien le seul domaine dans lequel nous sommes tous égaux. Cela semble se confirmer avec le V.I.H. Les hétérosexuels ont dépassé les gays et les bis dans les nouvelles contaminations. Et comme le rappelait le Dr Guillaume Martin-Blondel, médecin dans le service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Purpan à Toulouse, en décembre 2017 (et nous terminerons ce papier sur cette information positive), « le plus souvent, les personnes vivent avec une espérance de vie normale. Les traitements ont fait d’importants progrès en termes d’efficacité et d’effets secondaires ».

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13 MAI 1993 : CE JEUDI OU « H.B » S’EN EST PRIS A DES TOUT-PETITS INNOCENTS ET SANS DEFENSE

Samedi 13 mai 2023

« 13 MAI 1993 : CE JEUDI OU « H.B » S’EN EST PRIS A DES TOUT-PETITS INNOCENTS ET SANS DEFENSE »

On dit que la majorité des adultes situent leurs premiers souvenirs d’enfance entre 3 et 4 ans. Avant cela, leur cerveau en pleine construction, ils ont presque tout oublié. On peut donc avoir l’espoir que le traumatisme qui aurait hanté tout adulte n’a pas eu l’effet escompté sur les vingt-et-un bambins qui se sont retrouvés, le 13 mai 1993, devant un homme potentiellement particulièrement dangereux.

C’était il y a donc trente ans jour pour jour. Ce jeudi-là, il est 9 h 27 lorsqu’un homme vêtu de noir, la tête cachée par un casque de motard et une cagoule, et surtout bardé de dynamite, fait irruption dans la classe maternelle numéro 8 du groupe scolaire Commandant Charcot, situé boulevard du Commandant-Charcot, à Neuilly-sur-Seine, où 21 enfants en bas âge fabriquent des colliers en pâte à sel pour la fête des mères. L’exigence du mec, qui se fait appeler « Human Bomb » (« la Bombe Humaine ») ou « H.B », déterminé, est non négociable : 100 millions de francs (pour les plus jeunes qui découvrent le franc, cela fait 15 244 832 euros)… S’il ne les obtient pas, il fera tout sauter : lui, et avec lui, la salle de classe, l’instit, les gosses.

Derrière « Human Bomb » se cache « Érick Schmitt ». L’entrepreneur chômeur et dépressif est déterminé. C’est ce qui fait de lui le monstre qu’il est devenu à l’instant même où il a décidé de s’en prendre à des tout-petits innocents. Il n’a manifestement rien à perdre. Il est même prêt à aller jusqu’à se servir des enfants sans défense comme boucliers. Ainsi, il est certain qu’aucune arme ne sera pointée sur lui : personne ne prendrait le risque de mal viser et de blesser un enfant, voire pire, le tuer.

Ce « fait divers » a tenu la France entière en haleine pendant près de 48 heures. Deux jours et deux nuits au cours desquelles ces 21 enfants de 3 à 4 ans se sont retrouvés en tête-à-tête avec un individu blindé d’explosifs. Le seul adulte de confiance vers qui ils peuvent chercher de la sécurité c’est leur institutrice dont il faut saluer le sang-froid remarquable.

Laurence Dreyfus a 29 ans. La maternelle de Neuilly est son premier poste. Autrement dit, elle n’a aucune expérience. Et encore moins dans la gestion de situations extrêmes comme celle dans laquelle elle se retrouve ce jour-là. Le 13 mai 1993, « H.B » ne lui a pas donné le choix : elle a affronté l’épreuve qu’il lui imposait, à elle mais surtout à ses élèves, avec courage. Après ce drame (parce qu’une prise d’otage, et cette condition de voir sa vie aux humeurs d’un individu particulièrement dangereux reste un drame), l’institutrice a quitté l’école maternelle de Neuilly pour s’asseoir sur les bancs d’une université et en est ressortie convertie en psychologue. « Human Bomb » est venu chambouler toute sa vie.

Trente ans plus tard, les élèves de la classe maternelle N8 sont devenus des adultes. Peut-être sont-ils même parents et ont-ils réussi à surmonter leur potentiel traumatisme en scolarisant leurs enfants dans cette même école maternelle Commandant Charcot considérant leur propre drame comme un événement exceptionnel et ne remettant jamais en question le professionnalisme des instituteurs qui y enseignent… C’est tout ce que je peux leur souhaiter…

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ET LE CHRIST RESSUSCITA

Dimanche 09 avril 2023

« ET LE CHRIST RESSUSCITA »

La fête la plus importante du christianisme n’est pas Noël, contrairement à ce que l’on peut penser, mais Pâques. C’est l’espoir et la croyance en la Résurrection de Jésus et des Chrétiens d’une façon plus générale qui rend la disparition de nos proches plus supportable.

Selon les historiens, Jésus Christ aurait succombé à la Passion sur la Croix le 07 avril de l’an 33, suite à sa condamnation à mort par Ponce Pilate. Quelques jours auparavant, Judas devint, parmi ses apôtres, le traître qui le désigna aux gardes par un baiser, au cours d’un repas… qui sera le dernier de Jésus et qu’on appelle la « Cène ». Ce qui est inscrit sur l’acte d’accusation ? Son prêche, qui dérangeait les chefs religieux. Et, à l’époque, l’injection létale précédée d’une anesthésie adéquate ou correctement administrée pour endormir préalablement le condamné et ainsi lui éviter des souffrances n’existaient pas. Bien au contraire, la crucifixion était choisie précisément dans le but d’être témoin et de jouir du calvaire du supplicié.

La question est donc simple : que prêchait Jésus ? L’Amour, le Pardon, la Paix, pour le principal. Aussi incroyable que cela peut paraître, c’est donc cela qui dérangeait ses détracteurs, les chefs religieux qui étaient censés partager et porter Sa Parole.

L’ensemble du peuple juif est, encore aujourd’hui, désigné comme les assassins de Jésus. Depuis cette histoire que raconte la Bible écrite par les Hommes et à laquelle on est tous entièrement libres de croire ou de ne pas croire, le peuple de Dieu ne cesse d’être la victime d’un acharnement de persécution sans nom… Et l’apogée de cette vengeance ne remonte pas à si longtemps que cela… Quatre-vingt ans à peine, avec la détermination d’un seul homme de les exterminer jusqu’au dernier. Non, ceux qui ont tué le Fils de Dieu sont Judas, Ponce Pilate et une poignée d’autres. Mais on ne peut pas généraliser le crime sur tout un peuple. On ne vaudrait pas mieux qu’un Hitler ou encore que des Le Pen.

Judas, Ponce Pilate ont tué le Fils de Dieu parce que ce Messie voulait changer le monde, créé par son Père céleste, en un monde toujours meilleur… Mais quelle fut leur condamnation pour ce crime impensable ?

Il y a une femme à qui je ne peux m’empêcher de penser, c’est Marie, la femme que Dieu avait choisie pour porter Son Fils. On imagine l’horreur vécue par cette maman d’avoir assisté, impuissante, à la mise à mort et à la longue agonie de Son Fils unique, toute cette souffrance qui lui fut infligée alors que rien ne la justifiait… A ce moment, elle ne pouvait imaginer qu’au troisième jour de la mort de Son Enfant, c’est-à-dire le 09 avril, Marie-Madeleine aurait été la première à trouver  son tombeau vide, que le miracle inespéré de la résurrection pouvait lui rendre ce qu’elle avait de plus cher au monde.

Cher lecteur, chère lectrice, je vous remercie de votre fidélité et d’avoir consacré quelques minutes de votre attention à la consultation de cet article. Prenez soin de vous comme de ceux qui vous témoignent de toute leur affection… Continuons à nous protéger, à protéger ceux que nous aimons, à protéger les autres et aidons nos soignants à sauver des vies : même vaccinés, restons vigilants aux gestes barrières… Et, puisque je ne peux malheureusement rien faire d’autre pour témoigner toute ma gratitude à ces soldats qui sont en permanence en première ligne : APPLAUDISSEMENTS ! Je vous souhaite de très belles fêtes de Pâques ce dimanche et à demain pour mon prochain « petit papier »… !

Jessica NATALINO alias « Plume Libre »,

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04 AVRIL 2023 : DATE HISTORIQUE POUR LES ETATS-UNIS

Mercredi 05 avril 2023

« 04 AVRIL 2023 : DATE HISTORIQUE POUR LES ETATS-UNIS »

La date du 04 avril 2023 restera assurément dans l’Histoire des Etats-Unis. Les livres d’Histoire américains de demain raconteront que, ce mardi-là, pour la première fois et malgré le fait qu’il ait bien évidemment plaidé « non coupable », le 45ème président a été inculpé de 34 charges pour des soupçons de fraude portant sur un versement de 130 000 dollars à une star de films pornographiques et d’avoir « orchestré » une série de paiements pour étouffer trois affaires avant l’élection présidentielle de 2016.

Mais ce n’est pas tout. Vous savez, avec Trump, on doit s’attendre à tout. Avec cette comparution, on a appris qu’un portier de la Trump Tower, qui prétendait avoir des informations sur un enfant caché, avait reçu 30 000 dollars pour garder le silence et une femme qui se présentait comme une ancienne maîtresse a touché 150 000 dollars pour se faire discrète. Enfin, l’ancien président américain est accusé d’avoir fait de fausses écritures comptables.

« Je n’aurais jamais imaginé cela possible en Amérique », s’est exclamé l’accusé devant ses soutiens. « Le seul délit que j’ai commis, c’est d’avoir défendu sans peur notre pays face à ceux qui cherchent à le détruire », a déclaré l’ex-président américain en dénonçant une « insulte » aux États-Unis. Comme toutes les personnalités d’extrême-droite, Donald Trump ignore ou plutôt fait semblant d’ignorer qu’en réalité, c’est lui qui fait du mal à son propre pays qu’il assure pourtant aimer par-dessus tout.

Mais rassurez-vous cher fidèle lecteur, chère fidèle lectrice : même si « la loi est la même pour tous » comme l’a assuré le procureur de Manhattan, l’ancien président des Etats-Unis a pu prendre un avion pour rejoindre sa résidence de Mar-a-Lago, en Floride, à l’issue de l’audience qui n’aura duré que quelques minutes, sans aucune condition et mesure de contrôle judiciaire.

Le 08 novembre 2016, à travers ses grands électeurs, le peuple américain, après avoir porté un premier président métisse à la Maison Blanche à deux reprises consécutives, avait mis toute sa confiance en Donald Trump, un individu grossier et mysogine, alors que ce dernier était déjà embourbé dans trois affaires. On peut imaginer le sentiment de toute puissance qu’a pu ressentir le milliardaire.  

Le prochain rendez-vous avec la Justice devrait être d’ores et déjà noté dans l’agenda de Trump : le lundi 04 décembre 2023.

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1983 : L’ANNEE OU LE V.I.H A COMMENCE A TRAUMATISER LE MONDE ENTIER

Vendredi 24 mars 2023

« 1983 : L’ANNEE OU LE V.I.H A COMMENCE A TRAUMATISER LE MONDE ENTIER »

C’était il y a quarante ans. Dans l’Histoire de la santé, 1983 reste une année noire, traumatisante, pour tout le monde, tant pour les patients que pour les soignants ou encore pour les chercheurs. Je n’étais pas encore née mais j’ai grandi dans ces années 1990 où la menace du virus du sida encore très peu connu du sida pesait de tout son poids sur la population mondiale.

« V.I.H ». Rien que ces trois lettres ensemble sèment l’effroi… « V.I.H » pour « Virus de l’Immunodéficience Humaine ». Il y a quarante ans, lorsqu’un médecin annonçait à une personne qu’elle était malade et prononçait « V.I.H », c’était une véritable condamnation à mort. Depuis 1982, le V.I.H a assassiné pas moins de 40,1 millions de personnes à travers le monde.

Quarante ans ont passé depuis que le virologue français Luc Montagnier a découvert le V.I.H avec l’immunologue et virologue française, spécialisée dans les rétrovirus, Françoise Barré-Sinoussi. Pour cette co-découverte, les deux scientifiques ont partagé le Prix Nobel de Médecine 2008. L’arrivée des premiers traitements et, plus récemment, l’allégement thérapeutique ont donné de grands espoirs aux chercheurs et aux personnels médicaux. Aujourd’hui, une personne séropositive sous traitement efficace ne transmet plus le virus.

Luc Montagnier a rendu son dernier souffle le 08 février 2022 mais le combat continue. Le Sidaction 2023, c’est ce week-end. Trois jours, les 24-25-26 mars, pour se mobiliser, se sensibiliser et s’informer. Trois armes redoutables pour stopper la propagation du V.I.H.

Aujourd’hui, je suis la tata de deux petites adorables filles âgées de 3 et 2 ans, et mon cœur espère l’arrivée d’un petit neveu. Un petit mec au milieu de toutes ces nanas… J’ose faire le vœu que les trois amours de ma vie pourront vivre leurs histoires d’amour respectives sans avoir à jamais à se soucier de découvrir un jour, au détour d’une banale prise de sang de routine, qu’ils ont été infectés par le V.I.H.

Cher lecteur, chère lectrice, je vous remercie de votre fidélité et d’avoir consacré quelques minutes de votre attention à la consultation de cet article. Prenez soin de vous comme de ceux qui vous témoignent de toute leur affection… Continuons à nous protéger, à protéger ceux que nous aimons, à protéger les autres et aidons nos soignants à sauver des vies : même vaccinés, restons vigilants aux gestes barrières… Et, puisque je ne peux malheureusement rien faire d’autre pour témoigner toute ma gratitude à ces soldats qui sont en permanence en première ligne : APPLAUDISSEMENTS ! A mon prochain « petit papier »… !

Jessica NATALINO alias « Plume Libre »,

Ces dates qui ont écrit, écrivent et écriront notre Histoire

LA SYRIE AUX MAINS D’UNE DYNASTIE DE CRIMINELS (?)

Mercredi 15 mars 2023

« LA SYRIE AUX MAINS D’UNE DYNASTIE DE CRIMINELS (?) »

Dans la nuit du 05 au 06 février derniers, la terre tremblait faisant 5 951 morts en Syrie et 44 374 en Turquie. Ce n’était alors qu’un coup du sort de plus qui frappait ces deux peuples déjà en proie de deux tyrans.

Voilà douze ans qu’une cinquantaine de Syriens s’étaient donné rendez-vous devant le palais de justice de Deraa. Avec le recul, le choix du lieu était hautement symbolique. Peut-être un message envoyé à Bachar Al-Assad ?

Comme leurs voisins égyptiens, yéménites, bahreïniens et libyens, les Syriens se révoltèrent contre leur président autoritaire installé au pouvoir depuis le 17 juillet 2000, date à laquelle Bachar Al-Assad succéda à son père, emporté le 10 juin de la même année par une attaque cardiaque.

Sans pour autant chercher des excuses à l’actuel dictateur syrien, évidemment, il faut reconnnaître qu’Hafez el-Assad ne fut pas le meilleur des exemples pour son fils. Arrivé au pouvoir à la suite d’un coup d’Etat le 16 novembre 1970, la première chose que fait Hafez el-Assad est de jeter Salah Jadid, le visage de la jeune génération prosyrienne du parti, en prison. Cela promettait déjà !

Pour avoir un petit aperçu du régime Al-Assad, les services de renseignement et de police politique sont terriblement efficaces et leurs méthodes pour le moins féroces. Les principaux cadres de ces redoutables unités ont d’ailleurs été à bonne école, tous formés par… Aloïs Brunner (1912-2001), criminel de guerre nazi, qui, réfugié en Syrie à partir de 1954, a offert ses services à Assad quand ce dernier était ministre. C’est Brunner – responsable de la déportation vers Auschwitz de 120 000 Juifs – qui aurait initié les forces de répression de Damas aux tortures pratiquées par les nazis, notamment celle baptisée « la chaise allemande », metallique, toujours en vigueur dans la Syrie d’aujourd’hui et qui, comprenant des parties mobiles, provoque une extension extrême de la colonne vertébrale, qui entraîne une quasi-asphyxie et parfois la fracture des vertèbres, et une paralysie des membres inférieurs..

Bachar n’était pas destiné à succéder à son père. Mais son frère aîné Bassel eut un accident le 21 janvier 1994 auquel il ne survécut pas. Bassel aurait-il remis en cause la façon de « présider » de son père et aurait-il proposé une Syrie véritablement libre ? Peut-être… ou peut-être pas… Nous ne le saurons jamais.

Bachar serait en train de préparer Hafez Junior… Il y a vingt-et-un ans, le nouveau-né reçut le prénom de son grand-père, disparu un an et demi auparavant. Cela en dit long sur les espoirs qu’entretient le père en son fils. La Syrie n’en a donc pas fini avec la dynastie des Al-Assad, ni, probablement, avec la guerre civile, les massacres…

Pour pouvoir espérer une Syrie enfin apaisée et des Syriens libres, il est indispensable de renverser non pas « Al-Assad » mais « les Al-Assad » et que des élections, libres, soient organisées. Alors, le temps de la dictature et des massacres sera révolu et ne s’écrira plus que dans les livres d’Histoire…

Cher lecteur, chère lectrice, je vous remercie de votre fidélité et d’avoir consacré quelques minutes de votre attention à la consultation de cet article. Prenez soin de vous comme de ceux qui vous témoignent de toute leur affection… Continuons à nous protéger, à protéger ceux que nous aimons, à protéger les autres et aidons nos soignants à sauver des vies : même vaccinés, restons vigilants aux gestes barrières… Et, puisque je ne peux malheureusement rien faire d’autre pour témoigner toute ma gratitude à ces soldats qui sont en permanence en première ligne : APPLAUDISSEMENTS ! A mon prochain « petit papier »… !

Jessica NATALINO alias « Plume Libre »,

Ces dates qui ont écrit, écrivent et écriront notre Histoire